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Mon père avait promis à toutes sortes de personnes qu'elles hériteraient quelque chose de lui. Parmi elles, il y avait des gens qui avaient de bonnes relations avec différentes autorités.
À sa mort, ces personnes se sont retrouvées les mains vides, comme c'est souvent le cas dans les familles. Peu avant la mort, on se souvient des parents les plus proches, comme la femme ou le fils.
C'est normal.
Mais certaines personnes pensaient avoir le droit d'hériter, parce que mon père était un *&?@!!!. Que Dieu ait son âme...
Animés d'une haine profonde, ils ont fait jouer leurs relations. Une parente éloignée, qui travaille ou travaillait au fisc, m'a causé beaucoup d'ennuis en m'envoyant personnellement une mise en demeure pour un montant d'un million.
Un de ses collègues a manifestement remarqué qu'il s'agissait d'un acte de vengeance personnel. La lettre a été retirée et la procédure classée.
Mais cela ne lui a pas suffi. Dans un autre élan, cette dame a envoyé une liste de mes comptes à un autre service des impôts. J'avais entre-temps déménagé et elle voulait donc me dénoncer à mon nouveau domicile. Mais cela n'a pas abouti non plus. Un compte n'existait plus. Les autres comptes ne rapportaient que des intérêts minimes (0,5 %).
Les comptes particulièrement « douteux » en Suisse étaient même soumis à des taux d'intérêt négatifs. Une ancienne fiscaliste aurait dû le savoir.
Encore un coup dans l'eau !
Mais je trouve que lorsque des fonctionnaires utilisent leurs relations pour se venger d'autres personnes, c'est vraiment le fond du panier et du harcèlement moral !